Virginie WEBER
D'abord le corps, le geste.
Le sens, les mots viennent aprés...
L'arbre dans mon imaginaire, c'est l'arbre protecteur, l'arbre refuge où s'épanouissent le peuple suspendu, le nid, le cocon...sous un halo de lumière.
Virginie
WEBER, Peuple
suspendu dans l’arbre 2013, Sculpture
fer/bois/corde, 200€
Virginie WEBER, Rondelles d’arbre 2013, Sculpture fer, 200€
Virginie WEBER, le nid 2013, Sculpture fer, 80€
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Vinoth VIJAYARAGAVAN
Passionné dès son
enfance par le cinéma documentaire, il n’a de cesse que de capturer sans
artifice, avec grand soin et professionnalisme, les sources de la vie d’un
peuple. Il se tourne vers la
réalité de la vie de ses personnages. Un visage est égal à un instant de vie.
Une fraction de seconde libérée par l’appareil et c’est toute une poésie qui se
dégage d’un portrait. La méditation et le
questionnement des êtres tranchent radicalement avec la surprise dévoilée par
la posture singulière d’un personnage pris sur le vif.
A travers ces êtres multiples, c’est toute la
civilisation indienne mise à nu. Rites de la vie quotidienne, cérémonies
religieuses, festivals et spectacles, lieux insolites, apparaissent ça et là…
Vinoth VIJAYARAGAVAN, Land 2012, Photographie 18x24cm, 70€
Vinoth VIJAYARAGAVAN, Samadhi 2012, Photographie 50x70cm, 400€
Vinoth VIJAYARAGAVAN, Root 2012, Photographie 50x70cm, 400€
Stéphanie TRIBOU
Curieuse de l’Art
comme des Voyages, elle part sur les routes, pinceaux et calames à la main,
vers l’Amérique latine et puis vers l’Asie pour voir fleurir ses rêves et
coucher sur le papier des « instants de vie »…
Après des études d’Arts Plastiques en France, c’est en Inde qu’elle s’attardera, et vivra, pour mieux s’imprégner de ce pays qui ne laisse pas les voyageurs indifférents. Elle étudiera durant cinq années à Madras et en France le Bharatanatyam, danse classique de l’Inde du sud, ainsi que le Yoga.
Ces dessins illustrent des rencontres, des
regards, des histoires, de la poésie, des sentiments… Son travail s’imprègne de la philosophie
orientale et asiatique.
La beauté d’un regard, d’un geste, d’un symbole, nous plonge dans un monde où le Mystère fait partie intégrante de la Vie…
La beauté d’un regard, d’un geste, d’un symbole, nous plonge dans un monde où le Mystère fait partie intégrante de la Vie…
L’Art puise dans l’instant présent une part
d’éternité…
Stéphanie TRIBOU, Los Arboles 1et2 2013, Encre 46x36cm, 150€
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Stéphanie TRIBOU, Los Arboles3 2013, Encre 80x60cm, 800€
Carole SCEMAMA
Carole rénove, restaure, relooke meubles et objets non identifiés
"...il y
a un lien entre vous et moi, cette matière que vous ne voyez plus, vous l'avez
touchée, regardée, je peux sentir votre quotidien, l'effleurer de mes mains!
C'est un
relais, un témoin qui reprend vit, il devient autre, je suis
ce que je transforme, la course s'accélère, le temps m'est compté pour qu'à nouveau il se replace.
Cette empreinte
comme une" nait cessité " une nouvelle chance
dans un jeu vidéo, objet animé de votre passé qu'aujourd'hui je suis à la
trace. ... il y a un lien
entre vous et moi"
Carole SCEMAMA, "Sens dessus dessous" 2013,
Réservé
David ROHI
Je
parle et j’écris comme je respire, non pas que je respire toujours bien.
J’ai
fait des mots mes métiers constellés de mails, de réunions, d’interviews, de communiqués, de rapports, de coup de fil.
J’ai
grandi avec les arbres de mon jardin des Alpes, omniprésents. Puis avec ceux
d’ailleurs, de Ré à La Réunion. En silence. Intimement.
Et
voilà qu’une belle branche de mon arbre familiale m’invite à peupler de lettres
ce silence. A titiller mon désir d’écrire sans l’obligation professionnelle,
sans la flamme romantique des correspondances amoureuses ou amicales.
Désir
d’écrire libre et d’animer mes silences. Et renvoi, malgré moi, aux racines
utérines du faisceau sanguin qui m’a nourri avant la parole, avant l’écriture,
avant le désir peut-être.
Quitte
à avoir peur autant en jouir et me livrer.
Alors
je lirai ce que j’ai écrit pour la belle occasion.
EXTRAITS CHOISIS, lectures
Les petit bois
Les petit bois
Dans l’ombre des bois d’émoi des hauts des bas des digues de soi,
les pas vont
là, et encore là, tracent un sillon, une trace de soi.
Le temps est
là, n’est plus, revient, on s’la raconte, on se murmure,
on pense
changer d’chemins, pour retomber sur les mêmes souches.
Fantômes du
petit bois de soi, on flotte sur des chimères en bois de moi.
Un pas de
côté,
un regard en
arrière,
un peu de
hauteur,
un repos sur
la mousse,
une feuille
dans la main,
on aperçoit
nos plus grandes lignes, nos p’tits détours jamais bien loin, des souvenirs de
sauts pointillent nos routes principales.
On laisse
tomber la feuille, pour repartir, un peu de mousse collée au corps, les pieds
se calent dans leur refuge, leurs habitudes, nos hébétudes.
On distille
nos ravines, elles se creusent, on force, ça coince, on avance, ça fatigue.
Alors on
s’extirpe, pour aller juste à côté,
du même côté
de l’illusion d’une nouveauté.
De mal aux
pieds en mal en pis, on bute, nos ronces poussent plus vite qu’on n’avance,
on halète, on
stoppe, on cale.
Je croise des
gens, un geai fugace déchire l’écran de mes visions à plat.
De haltes
forcées, en pauses choisies, ne plus marcher, pour avancer,
pour voir la
carte du petit bois de soi, ses fondations, sa frondaison, sa canopée,
et deviner les
bois des autres, les cartes des petits bois des proches,
leurs jeux,
rhizomes du petit bois de Je,
l’immense
tapis de jeu, de mousse, de terre, de souche.
Je démêle mes
liens des vôtres, cherche mes désirs du bout de doigts aveugles.
Je tire mes
fils les plus intimes, j’enroule en pelotes bien rangées, je choisis les
couleurs, apprenti du métier à tisser.
Tisser notre
petit bois d’émoi, de fils de moi de fils de toi,
notre petit
bois de soie, de bout-à-bout des autres.
Le temps est
là où tout est là.
Eclats d’arbre
L’abracadabra
de l’Hébreux
Bruisse d’art
et de verbe
Dans l’oreille
de l’arabe en paix.
Leurs barbes
roulent dans l’herbe,
Tantôt de
rouge tachées
Tantôt
vivantes aux embarras brûlés.
Ebats rares.
Branche de saule
Fouet du père
Coup de trique
Cingle ma
cuisse
O hisse !
dans le saule :
Soul refuge Je t’aime moi non plus
Arbre à pain
Pain de mie
Mis un pain
Pain d’ami
Mie d’amour
Ses racines
ont dézingué la terrasse
tâchée par ses
mûres immangeables.
J’ai aimé ses
feuilles vite mortes,
Et encore
moins ses moignons d’hiver.
L’écorce
L’absence
ourle
les branches
de mon arborescence.
Le vide
dessine l’arbre.
Les racines
inimaginables créent le vide.
Puis vient la
stance,
un pull cache
et réchauffe ma peau.
Je tempère.
Ça résonne :
« TU t’en perds ? »
Ce TU à MOI,
écran
tue-tête,
se répète, à
perpète
comme ça ce
n’est pas MOI.
Tue-moi.
Tue-moi.
Amours végétales
Ah ! les
arbres ! humm !
Qu’est-ce que
ça sent bon !
Vivants,
coupés, en mousse ou secs,
Craquants
lichens et lianes fumeuses,
Cendres,
sciures, copeaux,
Résine à
chewing-gum, branche à chamallow,
HLM pour
champignons de bois,
Squat à
plumes, à pattes et carapaces,
Tableau à
cœurs et initiales,
Mystérieux
affleurements d’un sous-sol inconnu
Et souches
tombales d’un passé pourrissant
Sous un arbre
Allongé sous
lui,
son
bruissement lent caresse mes paupières,
ses couleurs
distillent mes inspirations,
ses pollens
murmurent à mes oreilles.
Berceuses ;
branches muses immobiles
de mes désirs
de voyages
sur un ciel de
velours bleu
l’arbre me met
en mouvement
et déride
l’écorce de mon front.
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Sylvain RAMADIER, Photographe
Sylvain: du latin sylva, fôret; Prénom
masculin; être des bois, des champs, de la forêt.
Ramadier: de l’occitan ramadilha: nom
feminin signifiant feuillage, ou encore ramada: nom féminin signifiant feuillée ou ramée; Ramadier est un
nom du midi qui désigne une personne possédant une ramade, c’est-à-dire
une tonnelle de verdure, ou encore une personne habitant dans le feuillage.
Sylvain
RAMADIER "al-terre-native
3" 2013, Photographie 60x40cm,
175€
Sylvain
RAMADIER "alternative 2" 2013, Photographie 40x40cm,
175€
Sylvain
RAMADIER "altère-native 1" 2013 Photographie 60x40cm,
175€
Un grand Merci à lui pour son professionnalisme, sa disponibilité et son soutien.
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Murielle PRYSZLAK, Mutine
Artisane
de bijoux d’art, elle vivifie de strass le bois flotté, brillant sur mat.
Pierres
espiègles et chainettes sertissent des bribes d’arbres grisées. Elle mutine
boucles et pendentifs. Malicieuse, elle égraine aussi des crânes rutilants.
Du
bout des doigts elle transfigure le bois mort et s’empare du vivant.
Versailles 95€
Nathalie
PRECHEUR
wdgidgi.free.fr/effetspourpres
Versailles 95€
Venise 95€
Athènes 95€
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Nathalie
PRECHEUR
" Au bois de mes couleurs"
A la racine des
meubles de Nathalie se trouve l’arbre. L’écorce du lokta se change en papier
dans les contreforts de l’Himalaya et le bois en carton. Leur mélange donne
naissance à des créations aux couleurs vives ou discrètes, aux formes sobres ou
tourmentées selon l’inspiration du moment. Ode à la nature chamarrée dont ils
sont issus, les objets présentés ici retrouvent les contours de leurs origines.
Luminaire arbre, 270€
Guéridon ovale, nid et bougie, 130€
Guéridon avec tiroir,220€
Claude PFAFFMANN
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Marie-Pierre PELLETIER
Marie aurait pu choisir la galerie après les Beaux Arts. Elle a voulu partager par la décoration son envie de créer. Avec elle, choisir n'est pas renoncer. C'est découvrir ses envies. Savoir habiller un mur est un art difficile. La créativité devient ici complice.
Marie aide pense l'espace et le façonne en mettant aussi la main à la pâte. Elle aime travailler la matière
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Claude PFAFFMANN
Documentariste,
Journaliste Grand reporter pour les chaînes de télévision nationale et
internationale
AU
CŒUR DE SOI, AU CŒUR DES ARBRES
Un film sur une nouvelle approche de la
connaissance des arbres.
Comment
sentir les vibrations et les énergies que chaque essence peut transmettre aux
êtres humains, c’est ce qui m’a intéressé quand j’ai filmé le stage organisé
par Anne-Laure et Bruno Veiller.
"Les arbres sont des sanctuaires.
Qui sait leur parler,
sait les écouter,
découvre la vérité.
Ils ne prêchent pas l'instruction
et des solutions toute faites,
ils prêchent pour l'individu insouciant,
la loi originelle de la vie."
Herman Hesse
Marie-Pierre PELLETIER
http://www.decoration-peinture.net
https://www.facebook.com/MarpelPierlec
Marie aurait pu choisir la galerie après les Beaux Arts. Elle a voulu partager par la décoration son envie de créer. Avec elle, choisir n'est pas renoncer. C'est découvrir ses envies. Savoir habiller un mur est un art difficile. La créativité devient ici complice.
Marie aide pense l'espace et le façonne en mettant aussi la main à la pâte. Elle aime travailler la matière
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Mathieu PAYRE, l'aventurier voyageur
A toi bel
arbre ! Grand, noble et fort.
Ramification sacrées
Branche élégante qui vont
O dans le ciel
Retour à l'essentiel
Enracinement
Ressentir
Sentir
Enlacer un arbre, se reposer dans le ventre de mère
Nature et puis
Semer une petite graine qui nous offrira un jour, oh
merveilles!
de beaux
fruits murs
Mathieu
PAYRE, Arborerpaix, photographie 30x40, 150€
Mathieu
PAYRE, Arborerjeux, photographie 21x29.7, 115€
Mathieu
PAYRE, Arborautomne, photographie 30x40, 150€
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Aline LECLERCQ
De
ces voyages, Aline ramène dans ses bagages des photos, des visages, des moments
surprenants, des lieux, des gens, des fleurs, des arbres…
Des
arbres aux racines multiples, à la hauteur vertigineuse, aux branches sinueuses
qui peuplent son jardin imaginaire.
Pascal GIORGETTI
D’aussi loin que je m’en souvienne Pascal a toujours dessiné.
Enfant,
il accumulait les croquis.
Plus
tard il illustrait les marges de ses cahiers d’écoles.
Adolescent
il griffonnait des situations vécues, anecdotiques et drôles qui mettaient en
scène ses amis lesquels incarnaient alors ses personnages principaux.
Puis,
ce sont des personnages imaginaires, des univers singuliers qui sont venus
peupler ses réalisations.
Pour
l’exposition c’est un urban tree qu’il propose, une nature à la fois
dégoulinante, chargée, meurtrière et tout autant régénératrice et somptueuse.
Urban
Tree, 175€
LOUISE G.
Les arbres fleurissent au printemps
et mon bonheur
s’émerveille tous les ans.
l'arbre d'amour
l'arbre à paroles
l'arbre des sensations
Rémi EYCHENNE
Il en a même réalisé une collective ou chacun peut venir découvrir, partager et écouter les oiseaux rares du moment.
Pour les admirer il faut aller dans les hauteurs des cimes, là où l'air est frais et le ciel est bleu...en Cerdagne.
http://www.bouillondeculture.org
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Véronique FABREGAS
La forêt
n’existe que par la rencontre entre le mycélium de champignon et l’arbre il y a
450 millions années. Par la synergie issue de cette rencontre, le milieu s’est
transformé pour toujours avec l’émergence d’une terre couverte de forêts. J’ai
choisi cette matière vivante pour illustrer la symbiose avec les arbres, la
partie non visible et pourtant essentielle qui antérieure à nous correspond à
l’association idéale du vivre ensemble. Ces associations peuvent changer tout
au long de la vie et chacun en reçoit le bénéfice. Ils s'aident mutuellement à
se nourrir, se protéger ou se reproduire.
Merci à Samuel RIGAUX
champignonscomestibles.com
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sandracadiou.com (E-portfolio)
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Nathalie CANTALOUBE
1er rédacteur graphiste, Milan Presse Pyrénées Magazine
Nathalie a réalisé l'affiche de l'exposition et le catalogue.
Un grand MERCI à elle pour sa générosité, ses conseils avisés et son soutien.
Sandra CADIOU
sandracadiou.com (E-portfolio)
La parfumerie m'intéresse depuis l'adolescence. J'aime sentir des
parfums, réfléchir et écrire sur des chefs d'œuvre de la parfumerie. Canlettrange en est une trace.
L'exposition Arborer-Sens organisée par Christel Bosio, va présenter un
ensemble d'œuvres autour du bois et des sens.Du
séjour de son père en forêt, chez les pygmées, elle a tiré son envie de
réfléchir de façon collective sur l'arbre et les sens. Christel Bosio a invité
sa famille et ses amis à proposer une œuvre en réponse à cette question.
J'ai
souhaité avoir un regard en dehors de l'écriture sur cette aventure familiale
dans les contrées boisées et sensitives. Je présenterai mon travail
olfactif : bois, senteurs, famille
Le sens ? L’odorat et donc la parfumerie
Le bois ? Le patchouli
La famille ? L’amour, la mère, le père, la mort
Le sens ? L’odorat et donc la parfumerie
Le bois ? Le patchouli
La famille ? L’amour, la mère, le père, la mort
J’ai
composé 4 parfums déclinant le patchouli pour évoquer ces 4 imaginaires.
Bois d'Amour / Bois des Mères / Bois des Pères / Bois de Mort
Bois d'Amour / Bois des Mères / Bois des Pères / Bois de Mort
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Marie-Madeleine BOY
Les arbres
me parlent...
parce que la mémoire du monde est organique
les arbres me parlent
ils n’ont pas de visage
mais ils les ont tous
fille d’un menuisier
je n’ai pas quitté leur familiarité
ni leur mystère
j’ai hérité de ce respect
de cette connivence
je persiste à les écouter...
les photographier donne à voir
une histoire,
leur histoire
Marie-Madeleine BOY, Les arbres me parlent, photographies 24x30cm, 75€
Marie-Madeleine BOY, Les arbres me parlent, Photographie 18x24cm, 50€
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Simon BOSIO
Simon a
composé une musique, sonorités aux facettes multiples, à écouter le corps dans
l’herbe et les yeux dans les feuilles des arbres.
Cet extrait
mélodique et aérien, accompagne l’exposition, invite à la méditation.
https://drive.google.com/file/d/0B7JaB4TW0EambkNhWW5wbklkQlU/view?usp=sharing
Quel joyeux défi de participer à ce projet artistique où l’art est de faire prendre racine au beau, aux sens et à l’humain.
Payable en 12 fois
https://drive.google.com/file/d/0B7JaB4TW0EambkNhWW5wbklkQlU/view?usp=sharing
Christelle BIDET
Quel joyeux défi de participer à ce projet artistique où l’art est de faire prendre racine au beau, aux sens et à l’humain.
Pratiquant depuis plusieurs
années la sculpture avec la terre comme support nourricier et ayant réalisé un
stage de bronze au centre national d'artisanat d'art de Ouagadougou (Burkina),
j’ai choisi ici d’exposer des pièces qui font « arbo et sens » à
cette rencontre aux multiples ramifications.
Christelle BIDET, Ecor(p)ce, Terre, 300€
Christelle BIDET, Lianne, Bronze, Réservé
Christelle BIDET, Nœud, Terre, 200€
________________________________________________________________________________Dominique ASSOR
aura
certainement une renommée internationale, ou au moins familiale, après cette
exposition. Ses
œuvres, loin de tout dogmatisme, s'inscrivent dans une longue tradition :
celle des arts modestes.
Et
modeste, l'artiste l'est et le montre avec ce tryptique qu'il a su nommer :
Mère Nature.
Il
aurait pu dire de ce titre que c'est un pléonasme, mais il ne le dira pas. Il
laisse le spectateur libre de le dire, ou pas.
En
tous cas, il nous invite à penser notre rapport à la nature et à le mettre en
tension avec notre rapport à notre mère...vous pourrez bien être surpris par
vos propres réponses.
Dominique
ASSOR, Séparation,
mise au ban(c), respiration, Photographie
30x40, 120€
Dominique
ASSOR, J'ai tout fait pour toi, Photographie 30x40, 120€
Dominique ASSOR, Dévorante, Photographie 30x40, 120€
Merci à vous de vagabonder dans le monde des sens, et de vous aventurer à laisser une trace de ces voyages dans le temps et l'espace.
RépondreSupprimerEncore merci à Christel de nous permettre d'échanger sur nos promenades artistiques et tellement vivantes.